Exactement: « En ce même temps, Mr. de Molière a reçu pension du Roi en qualité de bel esprit, et a été couché sur l'Etat pour la somme de 1 000 livres. Sur quoi il fit un remerciement en vers pour Sa Majesté. Imprimé dans ses Oeuvres. » La note concerne le mois de mars 1663. (ouvr age cité, p. 53.)

Mais Hugo ne mentionne pas une pension de 6 000 livres faite à la troupe des Comédiens Français le 14 août 1665, portée à 12 000 livres le 24 août 1682 (p. 241) et régulièrement payée.

Ajoutons que le roi faisait également une pension de 1 000 livres à chacun des acteurs de la troupe lorsqu'ils la quittaient pour leur retraite.